Présentations de mes écrits personnels

À la base mon récit intitulé "Un soupçon d'espoir" concerne la dualité entre la part obscur et la conscience du bien qui existe dans l'esprit de la narratrice "Laurel". En fait, je voulais retranscrire à travers un personnage ce qu'il y avait de bon et de pire en moi. Seule la connaissance de soi permet de se sentir réellement en phase avec ses propres choix. C'est ce qui arrive au personnage de Laurel dans le dernier chapitre intitulé "Nouveau Départ". C'est un récit extrêmement profond et personnel. C'est dommage que la plupart des gens aient du mal à le saisir. Peut-être que je dois reconnaître que le récit a probablement souffert d'un problème de style d'écriture (ou plutôt de choix de narration pour être plus précis). Mais si le récit doit être corrigé, il faudra respecter cette base initiale de dualité parce que c'est elle qui donne du sens à l'ensemble de l'histoire. 
H.R.Navalona commentaire de texte 

Genre : Nouvelle fantastique 

Public : à partir de 15 ans 

Résumé : Laurel est une jeune lycéenne qui souhaite réaliser son rêve de devenir journaliste en intégrant une prestigieuse école parisienne. Cependant, rien ne se passe comme prévu. Non seulement, la jeune fille subit des médisances en tout genre, mais elle est également la cible de violence physique par les autres élèves. Pour rien arranger, depuis quelques temps, Laurel est tourmentée par une ombre qu'elle baptise " Sans visage ". Cette dernière la hante jour et nuit lui provoquant d'horribles cauchemars. Désemparée, la jeune fille cherche de l'aide auprès de sa psychologue scolaire. Mais sa démarche ne fait qu'empirer les choses. Parviendra-t-elle à reprendre le contrôle de la situation?

Format : /

Pour le moment indisponible

Langue : Française

 Table des matières

Chapitre 1 : La visite p.2

Chapitre 2 : Amie ou ennemie p.5

Chapitre 3 : L'esprit en éveil p.8

Chapitre 4 : Une journée surprise p.11

Chapitre 5 : En milieu hostile p.14

Chapitre 6 : Test de personnalité p.17

Chapitre 7 : Secret dévoilé p.20

Chapitre 8 : La fête d'Halloween p.23

Chapitre 9 : Plus aucun contrôle p.24

Chapitre 10 : Un trop plein d'émotion p.30

Chapitre 11 : Une pause imposée p.33

Chapitre 12 : Le rêve déchu p.36

Chapitre 13 : À la recherche d'une réponse p.39

Chapitre 14 : Tout s'éclaire p.42

Chapitre 15 : nouveau départ p.45



Afin d'améliorer ma narration dans le récit 

" un soupçon d'espoir " j'ai indiqué mes nouvelles idées à une prête-plume (parce que pour moi, c'est une excellente initiative de demander de l'aide lorsque j'ai des difficultés) pour qu'elle puisse corriger ou plutôt améliorer le texte. En voici un tout petit extrait : 

Titre du chapitre : Un nouveau monde 

[...]

Étendue dans le noir, je tente d'empêcher mes yeux exténués de se fermer. Je dois retourner à la bibliothèque. C'est plus fort que moi. J'y vais, juste pour voir si tout cela était réel ou si j'ai tout inventé. Depuis le cimetière, je ne suis plus sûre de rien. Mes hallucinations me troublent. Je ne comprends plus où se trouve la frontière entre rêve et réalité. J'y vais, juste pour en avoir le cœur net, puis je reviens.

Comme la nuit dernière, je sors discrètement et me retrouve face à la porte massive de laquelle s'échappe toujours cette fameuse brise glaciale. De nouveau, le carillon sonne à minuit et la porte s'ouvre. Bingo ! Une fois entrée, je mets quelque temps à m'accoutumer à l'aveuglante lumière du jour. Personne au bureau. Je décide cette fois de persister et de sortir par la porte du fond. Dans le couloir, des cris et des rires me saisissent. Je reconnais stupéfaite une bonne partie des visages de l'école, qui eux aussi s'attardent sur moi en gloussant. Un garçon s'approche de moi et me donne une petite tape dans le dos.

— Eh ben ! Je sais que c'est le matin mais quand même va falloir s'habiller !

Morte de honte, car je reconnais que le jeune homme en question est Ralph, je comprends que je suis en pyjama en plein milieu du couloir. Je cours au dortoir pour me changer en prenant garde de raser les murs. C'est un cauchemar. Que font-ils tous là ? Est-ce que tout le monde a coutume de passer ses nuits… Ses journées… Enfin bref, de les passer dans ce qui semble être "le monde parallèle de la bibliothèque". Comment se fait-il que personne ne m'ai prévenu ? Néanmoins, à les regarder, ils ont tous l'air absolument normaux.

[...] voilà pour l'extrait...

Genre : Recueil de nouvelles fantastique 

Public :  à partir de 12 ans

Résumé : alors que Laurel se rend dans son jardin pour chercher un tournevis dans la cabane en bois, elle se retrouve confrontée à ses souvenirs d'enfance. En effet, en trébuchant sur un vieux carton, elle redécouvre trois objets qui ont marqué les différentes étapes de son enfance.

Format : /

Indisponible pour le moment

Langue : Française


Genre : Nouvelle aventure ( suite d'un soupçon d'espoir)

Public : à partir de 15 ans 

Résumé : Laurel est bien décidé à écrire, c'est pourquoi elle prévoit d'entrer dans une université afin d'apprendre l'écriture créative. Cependant son souhait va à l'encontre de sa toute nouvelle relation amoureuse ce qui va l'amener à prendre une décision douloureuse. Mais le chemin qui mène vers l'écriture n'est pas un long fleuve tranquille. Laurel devra batailler et s'armer de tout son courage pour parvenir à réaliser son rêve. 

Format : Ebook / numérique

Disponibilité : Wattpad

Langue : Française

Voici ce qu'il y a dans les premières pages de la saison d'été :

la troisième image = 1ère de couverture avec le titre et nom d'auteur 

Deuxième image à droite = les mentions légales

Première image à gauche = le code de la propriété intellectuelle

 

Le cercle des saisons

✍️ La saison d'hiver 

🧍‍♀️= Irina BOUSSOLE 

✍️ La saison du printemps 

👧 = Dana RUISSELANT

✍️ La saison d'été 

👴 = Coucou-gris Escapade 

✍️ La saison d'automne 

🧍‍♂️= Urbain ARBUSTE 

 
Transition 
La psychologie est une discipline qui m'a toujours interpellée. Cette science qui émet des théories voire des expériences professionnelles afin de comprendre le fonctionnement de l'être humain me sert surtout à cerner mes personnages et peut-être parfois à essayer de m'auto-psychanalyser (très déconseillé au lunatique 🌝🌜🌛). 

Parler de psychologie est extrêmement difficile parce que la discipline en elle-même laisse penser qu'on s'intéresse uniquement à des personnes atteintes de pathologie.  Mais pas du tout, elle sert à analyser la façon de penser et le comportement de l'être humain en général. Par ailleurs, cette discipline est une source intarissable aussi bien dans la littérature qu'au cinéma.

Côté littérature, je pense au "Horla" de Guy de Maupassant qui raconte l'histoire d'un homme qui se croit hanté par un fantôme en essayant de le prouver à lui-même en déposant chaque soir un verre de lait rempli sur la table à manger. Tous les matins le verre est vide 😱. Je vous laisse deviner la détresse du gars. 

Du côté cinéma, impossible de ne pas citer "Split" film réalisé par Night Shyalaman avec pour acteur phare James Mcavoy qui joue son personnage remarquablement bien. Ce dernier souffre de troubles de la personnalité. Le film interroge sur la place des individus atteints de pathologie dans la société. 

Enfin le travail artistique que j'apprécie le plus et qui aborde le mieux,  selon moi le sujet est bien entendu la série "perception" réalisé par Kenneth Biller et Mike Sussman. Le personnage principal Daniel Pierce souffre de schizophrénie (joué par l'acteur Éric McCormack). Ce n'est pas tant le côté série policière qui m'attire mais plutôt le fait que la série invite le spectateur à réfléchir sur un sujet en particulier dans chaque épisode (qu'est-ce qui différencie le réel de l'imaginaire? comment définir la normalité ? ect.) 

Vous avez sans doute remarqué que je na'i pas mentionné la très célèbre et populaire série qu'est "The mentalist" c'est tout simplement parce que la série est basée sur la manipulation mentale. De ce fait, ça ne correspond pas vraiment à la discipline de la psychologie. Il ne s'agit pas de manipuler un individu mais de déterminer l'origine de sa pathologie. 

Pour conclure sur le sujet, visionner et lire des livres sur la psychologie me permet à la fois de me cultiver, d'apprendre mais surtout de m'aider à construire mes personnages quand j'écris.


Ma première de couverture sur mesure

Réalisée par  l'Illustratrice Marine Antoniazzi


Voici la magnifique nouvelle couverture de L'oiseau électrique !

Je l'adore ! 

On dirait la Reine de coupe dans le tarot 

Je la baptise Queen of Originality 

Question / réponse

La gentillesse est-elle réellement une faiblesse?

Avant de répondre à la question, j'aimerai annoncer qu'il y a eu un incident sur mon site, de ce fait j'ai perdu certains des contenus qui s'y trouvaient. J'ai pu en récupérer quelques uns mais il faudra s'attendre à un réaménagement du blog. 

La gentillesse est-elle réellement une faiblesse?

Définition de la gentillesse: Caractère de quelqu'un qui est d'une complaisance attentive et aimable ; bonté

a) thèse du oui

  • La gentillesse sans limite peut engendrer une tentative d'abus de confiance.
  • La gentillesse peut devenir une faiblesse quand on l'accorde à des personnes qui ne la mérite pas.
  • La gentillesse devient une faiblesse lorsqu'elle met en danger notre dignité vis à vis d'un service que l'on rend à quelqu'un.
  • La gentillesse est une faiblesse quand on la choisit pour éviter d'affronter une personne.
  • La gentillesse peut être assimilée à une faiblesse quand elle nous positionne en condition inférieure à une autre personne.

b) Thèse du non

  • La gentillesse n'est pas une faiblesse lorsqu'elle fait ressentir notre capacité à éprouver de la compassion envers autrui.
  • La gentillesse n'est pas une faiblesse parce qu'elle indique la capacité d'un individu à être assez fort mentalement et émotionnellement pour réconforter autrui.
  • La gentillesse n'est pas une faiblesse parce qu'elle nous permet d'être altruiste et de s'intéresser aux difficultés d'autrui et ainsi nous préserver d'un égoïsme total.
  • La gentillesse n'est pas une faiblesse parce qu'elle nous donne l'occasion d'être disponible et à l'écoute pour les autres.
  • La gentillesse n'est pas une faiblesse parce qu'elle implique un acte sincère qui vient du cœur pour apporter de l'aide à autrui. 

Synthèse

La gentillesse ne relève pas uniquement du fait d'être une bonne ou une mauvaise chose. Mais elle reflète avant tout la présence d'une grande noblesse d'esprit au sein d'un individu. Elle suggère une grande empathie chez une personne car même si la gentillesse consiste à aider quelqu'un, il ne s'agit pas de s'approprier les difficultés d'autrui mais de lui apporter une nouvelle façon d'aborder ses problèmes. Par ce fait, la gentillesse n'est ni une faiblesse ni une qualité, c'est un état d'esprit que l'on se doit de s'accorder à soi-même ainsi qu'à autrui. Selon moi, ce qui est injuste c'est de condamner ou de blâmer une personne qui a été gentille parce que finalement qui y a-t-il de mal à donner sans attendre en retour ? C'est une force à part dont chacun et chacune a besoin au fond de lui-même.

Est-ce que j'attends du personnage principal qu'il soit un héros?

oui quelque part au fond de moi, je m'attends à ce que le personnage principal soit un héros. Pour moi, il n'est pas du tout de l'ordre de la rigidité ou du perfectionnisme que de rendre son personnage principal un héros. Pour moi, le héros me suggère l'idée qu'il est possible d'atteindre son objectif en respectant ses propres valeurs et principes. En faisant cela, il ne fait que démontrer sa fidélité envers lui-même.et par la même occasion sa fidélité envers ses amis ou les personnes qu'il apprécie en général. Le héros m'aide à comprendre qu'il est difficile et douloureux d'être quelqu'un de bien mais qu'au final ça en vaut toujours la peine. Dans les contes, le héros est celui qui garde espoir et dans le roman moderne c'est celui qui est brave. Dans les deux cas, ce que j'admire chez un personnage sensé être héroïque, c'est sa capacité à transmettre sa propre force à ceux qui l'entoure y compris le lecteur donc moi-même. Et c'est ce qui crée une certaine alchimie entre lui et son public selon moi. Et cela parce qu'on a envie de lui ressembler, de le suivre et d'accomplir des actions comme lui dans la vraie vie. D'ailleurs, l'adage ne dit-elle pas: «sois le héros de ta propre histoire». En effet, cela implique que chacun et chacune d'entre nous possède ses propres valeurs et agit en fonction de ces dernières. Pour moi, le héros est celui qui m'inspire du courage quand j'ai peur, l'espoir d'un jour meilleur quand les choses vont mal, c'est celui qui m'insuffle une énergie nouvelle de recommencer à bâtir quand les choses se sont effondrées. En fait, pour moi le héros possède un fort pouvoir de persuasion.

Synthèse

En tant qu'autrice, je choisis de rendre mon personnage principal comme étant un «héros» parce que j'aimerai lui attribuer les meilleures parts de moi-même et aussi toutes les qualités qui me restent à acquérir. En tant que lectrice, j'apprécie que le personnage principal soit un héros parce qu'il me contraindra à respecter mes propres valeurs parce qu'au fond si j'adhère aux principes d'un personnage que j'estime héroïque, c'est que je partage ces mêmes principes. Pour finir, peu importe que le personnage principal soit un héros ou un anti-héros parce que les deux me poussent à me questionner sur mes propres valeurs. Il ne s'agit pas de les catégoriser, héros égal bon et anti-héros égal mauvais car les deux types de personnages partagent une chose en commun, la souffrance, seulement ils préfèrent la traiter de deux manières différentes: pour le héros, il va s'en servir pour s'élever et le rendre plus fort tandis que pour l'anti-héros, il va s'en servir comme une justification de ses actes.

Un livre-a-t-il pour fonction d'instruire ou d'apporter une quelconque connaissance?

Je vais d'abord m'intéresser à la composition de la question, un livre = fonction= instruire= connaissance

Avant de répondre à la question, ici l'idée c'est de m'interroger sur l'effet qu'engendre la lecture sur un individu. Je suppose déjà dans la question qu'un « livre » est utile puisque je suggère qu'il a une fonction, il me reste à déterminer si le livre est utile parce qu'il permet «d' instruire » et par conséquent acquérir une forme de « connaissance » en répondant à la question.

Thèse du oui :

  • Le livre peut instruire et apporter de la connaissance, si le livre en question appartient à la catégorie des livres de guide pratique, dans ce cas précis le livre a bien une fonction d'instruire afin d'apporter une connaissance spécifique à une personne. Je pense notamment au livre de cuisine, de développement personnel, sur le jardinage, la science des plantes ect.
  • Dans un cadre plus romanesque, lire un livre peut instruire et apporter la connaissance lorsque le livre raconte un mode de vie, un décor ou plus généralement la vie d' une société qui appartient au passé. Je prends l'exemple des romans historiques, tel que la trilogie de Mary Hooper ( la maison du magicien, espionne de sa majesté et la trahison) qui a travers l'histoire d'une servante informe le lecteur sur l'époque du règne de la Reine Elizabeth 1ère, sur les tentatives de prise de pouvoir de sa cousine Mary Stuart mais aussi le célèbre personnage du Docteur John Dee dont on apprend qu'il a vraiment existé. Du côté littérature classique française, je choisis « Au Bonheur des Dames » d'Emile Zola qui raconte la naissance des centres commerciales, les inégalités sociales et la lutte des classes sociales en général.

- Dans un cadre beaucoup plus personnel, lire un livre peut instruire et apporter de la connaissance de manière indirect car lire peut être associé à un acte d'auto-éducation spontanée. Bien que je trouve cet argument beaucoup trop évident, je pense à l'apprentissage d'une langue qu'il s'agisse de sa langue maternelle ou d'une langue étrangère. En effet, lire permet dans ce genre de cas d'apprendre de nouveaux vocabulaires. Mais si je pousse la réflexion plus loin, lire peut affecter une personne de manière plus profonde en l'incitant à se questionner sur sa propre existence mais aussi en provoquant en elle l'envie à son tour d'écrire. En somme, lire instruit sur soi et apporte une connaissance sur les techniques d'écriture qu'un élève (terme sans connotation scolaire) potentiel peut imiter afin d'apprendre à trouver son propre style.

Thèse du non :

Livre = Évasion = divertissement = voyage dans un monde souvent fictif= une sorte de rêve retranscrit sur du papier = une histoire bien racontée

  • Le livre peut avoir une fonction bien moins solennel que celle d'instruire pour apporter une connaissance. La toute première reste celle de raconter une histoire. Personnellement, l'une des raisons qui me pousse à lire c'est la curiosité de connaître une histoire qui va peut-être m'émouvoir, me réconforter, m'émerveiller, un livre qui fait ressortir la meilleure part d'humanité qui existe en moi et par la même occasion me donner envie à mon tour de créer.
  • La deuxième fonction du livre qui en découle est celle de divertir. En effet, lorsque je suis lasse d'un quotidien réel trop obscur, avoir un livre près de moi c'est offrir à mon esprit un endroit où il peut s'évader, se sentir en sécurité et apaisé. Un endroit où il est possible de croire en un monde meilleur. Un endroit où mes héros préférés sont mes meilleurs amis. Un endroit qui me rappelle que conserver son humanité n'est pas une utopie. Un endroit qui me donne la sensation que tout est possible lorsque j'y crois vraiment.
  • La troisième fonction du livre est la permission d'imaginer. Un livre est le sanctuaire de l'imagination selon moi car il m'incite à élargir mon esprit pour qu'il puisse construire un mon monde fictif mais qui lorsque je le visualise semble réel. Quand je me sens perdue et désorientée, avoir un de mes livres près de moi me redonne cette force de conviction qui m'a quitté pendant un moment. Le livre au-delà de sa fonction d'instruire nourrit ma force intérieure et me donne envie de continuer de me lever chaque jour ne serait-ce que parce qu'il me rappelle que c'est parce que je suis en vie que je peux lire et être lu.

Synthèse

Selon moi, le livre est un objet de transmission à la fois du savoir, de diverses cultures mais aussi de l'existence humaine à travers le temps. Un livre devient un parfait outil en tant qu'objet de mémoire et de souvenir. Il est permet de laisser une trace de l'existence de l'être humain sur terre à travers l'écriture. Je pense qu'un livre peut changer la vision que l'on a de la vie c'est pourquoi mon souhait le plus cher c'est que l'ensemble de mes arguments donneront envie à d'autres personnes d'avoir un livre.